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Gianni Infantino: "A Trélex, ma famille et moi, nous nous sentons à la maison"

Candidat à la présidence de la Fifa, Gianni Infantino a présenté son programme durant sa campagne. En cas d'élection, le secrétaire général de l'UEFA pourrait quitter La Côte. Le candidat italo-suisse nous a répondus.

04 févr. 2016, 17:10
Gianni Infantino en campagne.

Il dit que le foot peut changer des vies, il a déjà changé la sienne. Le vendredi 26 février, son quotidien va peut-être prendre un nouveau tournant. Dans la course à la présidence de la Fifa, Gianni Infantino (45 ans) fait aujourd’hui figure de favori. Le secrétaire général de l’UEFA fait campagne avec des soutiens de poids: l’Europe, l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud, ainsi qu’une ribambelle de noms prestigieux, de Luis Figo à José Mourinho en passant par Sir Alex Ferguson. Entretien.

Gianni Infantino, vous êtes bien installé à Trélex. En cas d’élection, le premier changement consisterait à déménager, non (le siège de la Fifa se trouve à Zurich)?

Trélex est un magnifique village, le lieu où nous nous sentons à la maison, ma famille et moi. Bien sûr, mes proches me soutiennent totalement dans ma campagne. C’est pourquoi, le cas échéant, nous prendrons une décision tous ensemble.

Vous répétez vouloir «remettre le football au centre de la scène». Est-ce dire qu’au niveau mondial, le marketing, la politique et la finance ont pris le dessus sur les acteurs du jeu?

Depuis trop longtemps les scandales ont englouti la Fifa, c’est pourquoi il devient urgent de mettre en place toutes les réformes que je propose concernant la gouvernance et la transparence. Et nous pouvons faire bien plus pour montrer à quel point le football inspire les gens, monter son pouvoir à changer des vies.

Autre réforme: une Coupe du monde à 40 pays. Ne serait-ce pas une compétition plus difficile à lire?

Je ne le vois pas comme cela. Une Coupe du monde étendue permettra à davantage d’associations d’investir plus de ressources dans la préparation et l’amélioration des standards, et cela ne peut être qu’une bonne chose.

Le débat n’est pas de nature à vous effrayer.

Non, pas du tout! Au contraire.

L'intégralité de l'interview est à retrouver dans nos éditions papier et numérique de ce vendredi.

 

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