Au terme d’un match intense et engagé mais plutôt pauvre techniquement, Gingins a eu le dernier mot face à la réserve nyonnaise. Sur son terrain, la «deux» a manqué d’agressivité contre une équipe de Gingins fidèle à ses valeurs de solidarité et de combat.
Privés de Bally, suspendu après son expulsion en Coupe mercredi, c’est le revenant Mickael Henzen qui enfilait les gants. Et sans entraînement, le dernier rempart a livré un gros match, ne s’inclinant que face à un subtil ballon piqué de Ciccarone. «Je suis déçu parce que je me couche trop tôt, mais j’ai prouvé que j’avais encore deux trois restes», analysait-il à l’issue de la rencontre. Paradoxalement, l’ouverture du score nyonnaise tombait au moment où Gingins commençait à mettre le pied sur le cuir.
Gingins regarde toujours vers le haut
Plus volontaires, les Ginginois voyaient leurs efforts récompensés. En pivot, Rapin allumait Gleglaud, qui ne pouvait...