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L'Argentine a peut-être le Pape, Messi et les dieux du foot avec elle. Du moins, hier à Sao Paulo. Un but d'Angel Di Maria, tombé en fin de prolongation (118 e ), a crucifié la Suisse. Cruel pour cette Nati héroïque, qui a tenu, tenu sans relâche, avec bravoure et courage, avant de céder sur une action de rupture. Une perte de balle de Lichtsteiner, un déboulé de l'inévitable Messi, un service parfait pour Di Maria et Benaglio, énorme tout au long de la partie, devait capituler.
Que ce serait-il alors passé si la tête de Dzemaili, lors d'un dernier rush à couper le souffle, n'était pas venue mourir sur le poteau, alors que le gardien Romero était battu? Que serait-il advenu si les Helvètes avaient emmené les Argentins dans une séance de tirs au but?
La dernière d'Hitzfeld
Au Brésil, la Suisse avait dit vouloir marquer l'histoire. Elle...