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Ils ont bien grandi, ces "petits"

Les grandes nations peinent de plus en plus à trouver la faille face à leurs homologues dites "faibles".

20 nov. 2014, 00:01
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Ce dernier week-end, l'Europe entière du ballon rond était mobilisée pour un nouveau tour complet des éliminatoires 2016. Les "petits", sans grand respect, ont bousculé la hiérarchie en créant avec bonheur quelques surprises totalement inattendues. Cette forme d'intelligente révolution a causé le désarroi de favoris en détresse et surtout coûté la tête à certains entraîneurs prestigieux.

Safet Susic, l'ex-roi du Parc des Princes et chef des Bosniens, a dû rendre son tablier. Le Néerlandais Dick Advocaat, avec la Serbie mal barrée, a préféré jeter l'éponge avant de monter sur l'échafaud. Le malheureux Claudio Ranieri, largué, lui, comme un malpropre par des Grecs dont la position s'est définitivement empirée. Pour l'illustre Italien, l'année 2014 aura été celle de tous les tourments, une véritable galère qui avait commencé par un limogeage discutable du côté de la Principauté monégasque. D'autres coaches ont risqué de connaître le même sort. Le très discuté batave Guus...

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