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«J’ai cru qu’on m’avait jeté un sort»

Avant la venue de Kriens, samedi (16h), Nabil Souni, le meneur de jeu du Stade, évoque son parcours atypique.

30 oct. 2015, 00:19
Nyon, mercredi 8 juillet 2015

Colovray, Football, match de préparation, Stade Nyonnais - Servette FC Genève. #10 Nabil National Souni



Sigfredo Haro Football, match de préparation, FC Stade Nyonnais - Servette FC

dominique montangero

sports@lacote.ch

En quatre mois, Nabil Souni a disputé, avec le Stade Nyonnais, plus de matches qu’au cours des trois dernières saisons. A vingt-trois ans, il a déjà passablement bourlingué. Et surtout vécu – et survécu – à de nombreuses galères.

Né à Argenteuil, le numéro neuf des «jaune et noir» a quitté le Val d’Oise à l’âge de huit ans. Sous les couleurs de Torcy (Seine-et-Marne), il a effectué sa formation avant de rejoindre, en 2009, Neuchâtel Xamax. «Après deux ans à Neuchâtel, je commençais gentiment à faire ma place chez les pros mais la faillite du club a été prononcée. Cela a été très dur à vivre», souffle le franco-algérien.

Débute alors un incroyable périple, un véritable chemin de croix. De fausses promesses en vraie faillite, de contrats bidons en pseudos accords, il a multiplié les essais et les tests qui l’ont conduit à Sion,...

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