La triste nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre, mercredi soir. Ancien défenseur central du Stade Nyonnais, Yanis Cavaglia est décédé à 34 ans d’une longue maladie. A Colovray, où le Français a évolué de 2009 à 2012, l’annonce a marqué… Comme le joueur, aimable, chaleureux, a laissé une empreinte de son passage.
Les hommages ont rapidement fleuri. Ses qualités footballistiques sont saluées («un grand défenseur») mais aussi, et surtout, ses qualités humaines. «Repose en paix. Je garderai un immense souvenir de ta jovialité et ta gentillesse», a partagé Claude «Yéyé» Purro, ancien membre du staff du Stade Nyonnais, désormais au Lausanne-Sport. Autre hommage, celui de Patrick Duval: «Triste et douloureuse nouvelle. Un super type qui est parti et un excellent footballeur que j’ai apprécié dans nos confrontations», a lâché l’ancien entraîneur de l’US Terre Sainte.
Autre entraîneur à s’être fendu d’un petit mot, Pascal Dupraz. L’entraîneur de Toulouse, qui a eu Yanis Cavaglia à Croix de Savoie, a partagé sa tristesse sur Twitter, photo du défunt à l’appui: «Un guerrier s’en est allé. Repose en paix Yanis…»
Durant sa carrière, Yanis Cavaglia a joué avec l’équipe B de Monaco, Croix de Savoie – club qui avait malmené Lyon en Coupe de France en 2008 (défaite 0-1) –, ETG, le Stade Nyonnais et UGS.