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Le FC Gingins prend le meilleur sur la "deux" du Stade

Dans le choc au sommet, Gingins a pris le meilleur sur la «deux» du Stade Nyonnais (3-1), dimanche.

02 nov. 2015, 15:36
Le duel au sommet fut engagé.

Dans le match au sommet, dimanche, Gingins, supérieur, s’est logiquement imposé face à un trop tendre Nyon II. Avec ce succès indiscutable, les Ginginois se retrouvent, aujourd’hui, en position rêvée de finalistes. Sur leur terrain exigu et affreusement bosselé, ils ont d’entrée mis beaucoup d’agressivité et d’impact physique. La classe biberon nyonnaise, rapidement débordée, n’est jamais parvenue à mettre en place sa philosophie, basée sur la maîtrise et la circulation du ballon.

Au quart d’heure, les Ginginois pouvaient lever les bras au ciel, grâce à la tête de l’excellent Harry Delmas, bien plus habile que son frère. Le meneur de jeu profitait d’un coup franc de Penel et surtout de la complicité du portier Alvarez, maladroit en la circonstance.

Nyon II, timoré et moribond subissait et se montrait dans l’incapacité de réagir et de mettre en danger une arrière-garde dirigée de main de maître par l’inusable Nixson. Profitant de cette apathie, les hommes de Laurent Jacquot, enfonçaient logiquement le clou, par l’opportuniste et travailleur Rapin. Ce dernier pouvait conclure imparablement de la tête, un magnifique travail préparatoire de son compère Baechler (25e).

Gingins trop sûr de son affaire

Dès la reprise et toujours dans le même scénario, les «jaune et bleu» sur une nouvelle balle arrêtée, doublaient leur avantage, par ce diable de Rapin, qui, de la poitrine, pouvait mettre à profit l’incroyable passivité d’une défense nyonnaise aux abonnés absents (49e). Trop sûr de son affaire, Gingins, a, dès l’heure de jeu et de façon surprenante, trop reculé, pour perdre totalement le milieu et la maîtrise du jeu.

Transparents et inexistants jusqu’alors, les visiteurs utilisaient cet incompréhensible changement d’attitude, pour enfin sortir de leur léthargie et de s’offrir leur première occasion (68e). Bruno Gorret réagissait tactiquement avec à propos, en introduisant un attaquant supplémentaire. Cette option trouvait rapidement sa récompense. Dijamant Bega, oublié au deuxième poteau pouvait réduire le score, sur un service parfait d’Idriz Bega (74e).

 

 

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