«Lundi, jour de la reprise de l’entraînement, j’avais tellement de tension que j’ai dû prendre une pilule contre le mal de tête», lâche Vittorio Bevilacqua. Stress, appréhension? Rien de tout cela. Avec deux cent quarante matches de Ligue nationale A comme joueur et une centaine en Challenge League comme coach, il en faut plus pour impressionner le nouvel entraîneur du Stade Nyonnais. «Je me réjouissais terriblement. L’envie était très forte», confie le Tessinois qui, suite à son éviction d’Yverdon, se trouvait sur la touche depuis avril 2015.
L’important? Les joueurs
Après deux étés mouvementés, le calme est revenu à Colovray. Le successeur de Sébastien Bichard pourra œuvrer dans la sérénité et la continuité. «A Nyon, il y a tout pour bien faire. Les installations sont magnifiques, les structures mises en place par les nouveaux dirigeants sont bonnes et j’ai été extrêmement bien accueilli par l’ensemble du staff,...