En quatre mois, Nabil Souni a disputé, avec le Stade Nyonnais, plus de matches qu’au cours des trois dernières saisons. A vingt-trois ans, il a déjà passablement bourlingué. Et surtout vécu – et survécu – à de nombreuses galères.
Né à Argenteuil, le numéro neuf des «jaune et noir» a quitté le Val d’Oise à l’âge de huit ans. Sous les couleurs de Torcy (Seine-et-Marne), il a effectué sa formation avant de rejoindre, en 2009, Neuchâtel Xamax. «Après deux ans à Neuchâtel, je commençais gentiment à faire ma place chez les pros mais la faillite du club a été prononcée. Cela a été très dur à vivre», souffle le franco-algérien. Débute alors un incroyable périple, un véritable chemin de croix....
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