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Toujours suspendu mais toujours candidat à la succession de Joseph Blatter à la tête de la FIFA, Michel Platini a été visé par de nouvelles accusations mercredi. Une possible «falsification des comptes» a été évoquée par un haut dirigeant de la FIFA.
Mardi à Zurich, le comité exécutif de la FIFA a bien maintenu l’élection présidentielle au 26 février, sans fermer la porte à Michel Platini. Officiellement, la candidature du patron de l’UEFA est en effet seulement conditionnée à la levée de sa suspension de 90 jours infligée le 8 octobre par la commission d’éthique pour ce paiement controversé de 2 millions de francs suisses reçu de Joseph Blatter en 2011. «Plutôt une bonne nouvelle (...), on a le sentiment que la commission électorale n’a pas tué Michel Platini», avait-on aussitôt réagi dans son camp.
Humeurs
Quelques heures plus tard, l’humeur pourrait avoir changé...