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Archi-dominé et dans un mauvais jour, PdJ récolte laborieusement trois points. Cette récompense est un salaire royal pour un service minimum. Etonnamment, le terrain des Planches était peu garni. Pour une fois, les absents ont eu raison. L'équipe d'Apples n'a de loin pas confirmé la bonne impression de la semaine dernière, la faute à un Bavois II d'un tout autre calibre que les fantômes d'Assens.
La troupe de Johann Späni, un amalgame de chevronnés et de jeunes loups, a monopolisé le ballon avec un certain talent, sans toutefois inquiéter une arrière-garde de Pied du Jura disciplinée, dirigée de main de maître par Montangero, l'homme du match. A force de courir après une sphère insaisissable, PdJ a laissé beaucoup d'énergie dans l'aventure, mais grâce à leur légendaire combativité, les hommes de Bruno Chappuis ont pu sauver l'essentiel.
La libération, pour une équipe qui réussit l'exploit de ne se créer aucune...