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Simon Ammann n’en a pas fini. Il se lancer dans sa vingtième saison de Coupe du monde avec un objectif simple... et compliqué: maîtriser son nouveau télémark, démontrer qu’il a bien fait de s’accrocher. Il en faut de l’obstination, à 35 ans, quand on a déjà tout gagné – à l’exception de la Tournée des Quatre-Tremplins – pour remettre l’ouvrage sur le métier au sortir d’une saison bien terne. L’hiver dernier, Ammann a dû se contenter de quelques places dans le top 10, pour un 15e rang final relativement anonyme au général de la Coupe du monde. Aujourd’hui, il se dit confiant, malgré un été très modeste, à l’issue duquel il a été absent du podium des championnats suisses, il y a un mois, à Kandersteg.
«Je n’aurais pas pensé que mon changement de télémark me préoccuperait aussi longtemps», concède-t-il, forcé de modifier sa réception après sa...