"Il n'y a pas qu'une seule raison à son éviction, il y en a plusieurs. Mais je ne veux pas rentrer dans les détails", soulignait le Bernois, qui avait entériné le départ de Yann Marti jeudi après-midi, soit après le tirage au sort, et qui ne souhaitait pas s'exprimer à ce sujet avant la fin de ce 1er tour.
"Ma tactique était de faire jouer Henri (réd: Laaksonen) face au no 2 belge (réd: Ruben Bemelmans) vendredi. Pour cela, je devais me passer des services de Marti le vendredi. Je lui en ai parlé mercredi, puis jeudi matin et jeudi après-midi. Il n'arrivait pas à accepter ma décision", expliquait-il.
"Je lui ai pourtant dit qu'il jouerait si nous nous retrouvions à 2-2. Mais s'il n'arrive pas à comprendre ce genre de choses, c'est qu'il n'a rien à faire dans une équipe, en tout cas avec moi comme capitaine. Son attitude a été très décevante. Il a affaibli l'équipe", poursuivait un Severin Lüthi remonté comme rarement.