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Affaire Luca: le Ministère public reste sur sa position

Fin de la conférence de presse. La famille Mongelli en organise une dans quelques minutes.

26 janv. 2012, 11:29
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11 heures 29

Une petite centaine de personnes attendent l'issue de la conférence de presse devant le Ministère public.

11 heures 22

Fin de la conférence de presse.

La famille Mongelli en organise une dans quelques minutes.

11 heures 21

Nicolas Dubuis : « Le témoin qui est intervenu hier soir au Téléjournal est le premier à avoir été interrogé »

Il cite son interrogatoire qui… dit le contraire de ce qu’il a affirmé à la TSR !

11 heures 19

Jean-Pierre Gross explique que si les experts disent qu’il ressort du dessin que Luca a été agressé, les mineurs soupçonnés étant domiciliés dans le canton de Vaud aux moments des faits, l’instruction pourrait passer sous l’égide de la justice vaudoise, comme le veut le droit des mineurs.

11 heures 16

Jean-Pierre Gross : « Cette affaire n’est pas usuelle. Nous n’avons pas une victime face à un agresseur, mais nous avons «contre » nous la famille de la victime. » « En fait, ils sont du même côté que nous dans la procédure. »

11 heures 13

Question : pourquoi Luca dit le contraire, dit que ce n’est pas le chien qui l’a attaqué ?

Patrice Mangin : « Je ne suis pas pédopsychiatre. Je n’ai pas les compétences pour répondre à cette question. »

« Je ne dis pas qu’il n’y a pas eu l’intervention d’un tiers. Je constate des faits. Pour l’instant, à partir de toutes les investigations effectuées, il n’y a rien qui démontrerait une telle intervention d’un tiers. »

11 heures 10

Patrice Mangin, qui rappelle qu’il a 35 ans d’expérience en matière de médecine légale : « Pour nous, très vraisemblablement l’enfant s’est dévêtu pour faire lâcher prise le chien. »

Selon cet expert, c’est une situation qui n’a rien d’exceptionnelle et qui est déjà intervenue souvent.

11 heures 06

Jean-Pierre Gross : « Si les Italiens découvrent des éléments que nous ne connaissons pas, nous les examinerons avec attention. »

« Pour l’instant, je n’ai eu aucune requête d’entraide judiciaire de la part de l’Italie »

11 heures 04

Question : est-ce que les feuilles de présence à l’école de Lausanne ont été typexées ?

Nicolas Dubuis : « J’ai l’attestation de professeurs qui déclarent que les enfants étaient présents à Lausanne à ce moment-là. »

11 heures 03

Question : est-ce que la famille n’a pas été imprudente de laisser les deux enfants avec un tel chien ?

Nicolas Dubuis : « Je suis là pour établir des faits. »

11 heures 01

Question : est-ce que des erreurs ont été commises par les policiers qui sont intervenus sur les lieux ?

Nicolas Dubuis : « Je suis intervenu 9 mois après les faits. Je me suis posé la même question que vous »

6 policiers sont intervenus pour procéder à la fixation des lieux (terminée à minuit et quart). Un deuxième état des lieux a été réalisé le lendemain, de jour.

Les lieux n’ont pas été protégés par des banderoles. Les policiers disent qu’ils n’ont pas posé de banderoles pour ne pas attirer plus l’attention.

10 heures 57

Nicolas Dubuis : « J’ai douté tout au long de l’enquête, raison pour laquelle je me suis entouré d’experts. J’ai pris la Roll Royes des experts, avec le professeur Mangin.

On ne peut pas exclure l’intervention d’un tiers, mais il n’y a aucun indice qui le montre.

Le témoignage du frère, Marco, qui dit « Rocky méchant, Rocky mordu Luca », l’expert dit que c’est crédible.

Il y a 2300 pages d’investigation.

J’en suis monté des fois sur ce pré de Veysonnaz en me demandant ce qui s’était passé ici. »

« Dans tout dossier, il reste une part de doute. »

10 heures 53

Patrice Mangin : « Je pense que l’enquête a été bien faite »

10 heures 50

Question : Est-ce que le chien aurait-il pu intervenir pour protéger Luca ?

Patrice Mangin : « Dans ce cas, on aurait retrouver des traces de sang de la personne qui aurait agressé Luca »

Une enquête a été menée pour savoir si quelqu’un avait consulté pour des morsures de chiens. Deux cas ont été trouvés. Un propriétaire du Val d’Hérens qui a été mordu par son propre chien et le policier qui a eu affaire à Rocky (le chien de Luca)

10 heures 48

Patrice Mangin : « On n’a pas retrouvé d’ADN humain autre que celui de Luca. Il n’y a pas de traces d’agression sexuelle. »

10 heures 47

Un journaliste affirme avoir discuté avec Luca avant la conférence de presse. Selon lui, Luca a affirmé que ce n’est pas le chien qui lui a fait tout ça.

10 heures 46

La conférence de presse se déroule de manière très calme.

10 heures 44

Pourquoi le chien a-t-il changé de propriétaire ?

Nicolas Dubuis : « La famille Mongelli a cédé le chien à un chenil. »

Plus tard, les nouveaux propriétaires n’ont pas supporté l’idée que leur chien soit considéré comme un meurtrier. Ils ont donc décidé de le faire euthanasier.

10 heures 39

Nicolas Dubuis : « On n’a jamais retrouvé de substance verte, hormis des selles de l’enfant »

10 heures 38

Nicolas Dubuis : « Les ambulanciers ont été entendus »

10 heures 37

Patrice Mangin : « Il n’y a pas eu attaque du chien sur Luca, mais il y a eu une interaction trop violence entre le chien et Luca »

« Le drame, c’est que cette affaire est intervenue en hiver, en février, la température était comprise entre -2 et 0 degré. Le chien se trouvait à l’aise dans ces conditions, mais pas l’enfant.

Le chien est un chien jeune, de 7 mois, de 30 kilos, qui n’était pas dressé, pas discipliné et il était puissant.

Ce chien a mordu le policier qui a voulu s’en saisir après les faits.

Avant cette affaire, Luca avait déjà été mordu et avait montré ses morsures à sa maîtresse. »

10 heures 30

Patrice Mangin fait distribuer quatre photos montrant les lésions sur le corps de Luca.

« L’enfant n’a pas été battu ni flagellé », estime-t-il en commentant les photos.

10 heures 27

Jean-Pierre Gross : « La durée prévisible de l’expertise (du dessin) est difficile à prévoir. » Il évoque la possibilité d’avoir un rapport à fin août.

10 heures 26

Jean-Pierre Gross : « Il n’y a aucune raison de décharger le procureur Nicolas Dubuis du dossier. Il n’a commis aucune erreur grave. Et c’est le meilleur connaisseur du dossier. »

10 heures 25

Il a été question de la présence de petits voisins.

Nicolas Dubuis explique que l’enquête a été menée. Deux attestations montrent qu’ils étaient à Lausanne au moment des faits tragiques à Veysonnaz.

« Maintenant il y a un élément nouveau, c’est le dessin (de Marco, le petit frère). Nous faisons donc analyser le dessin »

10 heures 23

On passe aux questions des journalistes.

« Non, la justice valaisanne n’exclut pas l’intervention d’un tiers, mais aucune trace d’une telle intervention n’a été trouvée. » Jean-Pierre Gross.

10 heures22

Patrice Mangin précise que son rapport est le fruit d’un travail interdisciplinaire et non le fait de sa seule analyse.

10 heures 20

Le professeur Patrice Mangin prend la parole.

C’est le nouveau propriétaire du chien, Rocky, qui a fait procéder à l’euthanasie du chien… sans informer la justice.

10 heures 18

Nicolas Dubuis : « Un panel de 4 experts a été trouvé. La famille Mongelli doit dire maintenant si elle accepte le choix de ces experts. »

10 heures 17

Nicolas Dubuis : « La justice n’a pas ordonné l’euthanasie du chien ! »

10 heures 15

Nicolas Dubuis :

"Selon les experts, on peut juger fortement crédible la première affirmation du frère de Luca, Marco, lorsqu’il affirmait que le chien était l’agresseur."

10 heures 12

Nicolas Dubuis : « Une pétition et une manifestation demande de rouvrir le dossier. Le dossier est rouvert depuis le 15 novembre 2010 ! »

Le dossier de l’affaire Luca représente 2300 pages.

10 heures 11

Le procureur Nicolas Dubuis prend la parole.

10 heures 06

Le procureur déclare que la prescription dans l'affaire Luca n'interviendra qu'en novembre 2018.

10 heures 04

La conférence de presse a débuté.

09 heures 57

Lolita Morena est présente.

09 heures 53

La représentante de l'1dex négocie son entrée. C'est non!

09 heures 50

La rue des vergers est bloquée par les manifestants et la presse qui fait des interviews au milieu de la rue.

09 heures 48

Le ministère public a refuse l'accès à la conférence de presse aux représentants du consulat italien qui recevra le communiqué de presse.

09 heures 46

Les blogueurs ne pourront pas assister à la conférence de presse. C'est le chef info de la police cantonale Jean-Marie Bornet qui filtre les entrées.

09 heures 37

Oskar Freysinger est également présent avec son épouse.

09 heures 35

Luca arrive devant le ministère public.

09 heures 32

Une vingtaine de manifestants se trouvent déjà devant le ministère public. Parmi eux les députés Jean-Luc Addor (UDC) et Jean-Pierre Bodrito (PS).

09 heures 22

Une cinquantaine de journalistes se sont inscrits à la conférence de presse.

08 heures 30

Journée spéciale aujourd’hui. Le Ministère public donne une conférence de presse relative à l’affaire Luca. L’invitation précise que seuls les journalistes munis d’une carte de presse peuvent y participer.

Mais voilà… L’Etat Italien demande de pouvoir y être représenté. Le site internet 1dex.ch, qui se considère comme un média, a aussi demandé d’y être. Suspens.

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