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Coronavirus: entre polémiques, déceptions et espoirs, le point sur les médicaments anti-Covid

Il n’y a pas encore de médicament miracle contre le Covid-19. Mais, en un an, la prise en charge a progressé.

16 avr. 2021, 00:01 / Màj. le 16 avr. 2021 à 06:58
Bei einem Rundgang durch den Pharmakonzern Roche in Basel wird Medienschaffenden am 22. September 2006 ein Einblick in das Labor gewaehrt. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)

The pharmaceutical combination Roche provides media representatives an insight into a laboratory on a round tour in Basle, Switzerland, pictured on September 22, 2006. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)

Quelle maladie! Dans la plupart des cas, elle guérit d’elle-même, sans médicaments. Mais pour certaines personnes, le COVID-19 peut causer des complications mortelles. Des anti-viraux aux anti-inflammatoires, beaucoup a déjà été testé, en une année. De nombreux progrès ont été réalisés. L’arrivée prochaine en Suisse de traitements par anticorps monoclonaux, déjà testés en France et en Allemagne notamment, suscite de grands espoirs.

Les polémiques et les déceptions émaillent la recherche de traitement de médicaments et de traitements contre le COVID depuis le début de la pandémie. Il y a eu l’hydroxychloroquine, jusqu’à ce que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de ne plus l’utiliser. Régulièrement, des idées, parfois loufoques (comme celle d’un certain breuvage aux herbes), sont lancées puis disparaissent tout aussi vite de l’actualité.

Des entreprises pharmaceutiques annoncent tout aussi régulièrement des inventions censées réaliser des percées décisives. «Mais il faut des données cliniques», insiste Nicolas Müller,...

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