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Droite romande, la relève en question

Départs à la retraite de ténors, démissions, affaires: les partis bourgeois ont été ébranlés en 2018.

24 déc. 2018, 00:01
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La voix des Romands va-t-elle s’affaiblir au Parlement fédéral, alors que nombreux sont les ténors de la politique à quitter le navire? La scène politique romande est en effet en pleine recomposition, depuis plusieurs mois, et la question de la relève se pose. «Lors de départs naturels, les partis ont le temps de s’organiser», observe Pascal Sciarini, politologue et professeur à l’Université de Genève. «Mais lorsque les départs sont inattendus, assurer la relève est plus difficile.» Petit tour d’horizon.

Démissions en chaîne à l’UDC

L’UDC a connu des sueurs froides durant le chaud mois d’août: Stephan Moser, président de la section neuchâteloise, Ruedi Schläfli, président de la section fribourgeoise, et le Vaudois Kevin Grangier, chef de campagne du parti pour la Suisse romande, ont jeté l’éponge à quelques jours d’intervalle.

Céline Amaudruz (UDC, GE) reconnaît que son parti a été chahuté, l’été dernier. Mais la vice-présidente de la formation...

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