«Il y a plus de particules de plastique flottant à la surface des océans que d’étoiles dans la galaxie»: c’est ce qu’expliquent les responsables du projet Autonomous River Cleanup (ARC) de l’Ecole polytechnique fédérale (EPF) de Zurich, qui combinent plusieurs technologies pour prélever le plastique des rivières. Démonstration dans la Limmat, au cœur de Zurich.
Un nom bien trouvé: la barrière flottante (visant à stopper d’éventuelles pollutions d’hydrocarbures et prêtée par la police de la protection des eaux de Zurich) forme bel et bien un arc sur la surface de la Limmat. Elle est reliée à une plateforme de 12 mètres de long construite par les étudiants de l’EPF participant au projet. Il y a là des spécialistes des technologies de l’énergie, des experts en robotique ou encore des ingénieurs, entre autres.