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Il faut se méfier du connecté

A l’heure de l’internet des objets, un antivirus ne suffit plus à se protéger des attaques.

25 févr. 2019, 00:01
ILLUSTRATION - Auf dem Bildschirm eines Laptops ist am 19.05.2017 in Köln (Nordrhein-Westfalen) der Binärcode zu sehen. BASF, VW, Bayer und die Allianz wollen im Kampf gegen Cyber-Kriminalität ihre Kräfte bündeln. Dafür haben die vier Konzerne eine gemeinsame Gesellschaft mit den Namen Deutsche Cyber-Sicherheitsorganisation (DSCO) in Berlin gegründet. (zu dpa «Konzern-Allianz gegen Cyber-Kriminalität» vom 19.05.2017) (KEYSTONE/DPA/A3250/_Oliver Berg) DEUTSCHLAND COMPUTER MIT BINÄRCODE

Paralysie de la boîte mail, blocage de fichiers clients et rançons à verser en bitcoins: chaque année, neuf sociétés sur dix, en Suisse, subissent une cyberattaque. Eugene Kaspersky, le grand patron de Kaspersky Lab, société de cyberdéfense installée depuis peu à Zurich, révélait lors d’un congrès, à Lille, que ses antivirus interceptaient 380 000 codes maliciels (virus) par jour, contre 50 en 1998!

Bref: il y a plus de chance de se faire hacker que cambrioler. «Sur ce marché, qui connaît une croissance de 10% par an en Suisse, deux types d’entreprises se développent», analyse Steven Meyer, patron de l’entreprise de sécurité informatique ZENdata, à Genève. «Celles qui créent des produits de sécurité et celles qui assurent des services comme la nôtre.

En raison du coût de la main-d’œuvre en Suisse, ce sont plutôt les sociétés de services en cybersécurité qui dominent, car elles nécessitent moins de fonds pour...

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