Malgré la fermeture provisoire de la Reitschule, annoncée samedi par le centre alternatif, les discussions avec la ville concernant son futur continuent normalement. C’est ce qu’a indiqué la ville de Berne hier. Les discussions sont confidentielles, a dit hier le chef de l’information de la ville Walter Langenegger, qui ne donne pas d’autres informations. L’ancien juge fédéral Hans Wiprächtiger fait office de médiateur avec la Reitschule.
La ville n’a pas été informée de la fermeture du centre alternatif. Mais elle n’est pas pour autant surprise par cette annonce, selon Langenegger. Le thème a été abordé à plusieurs reprises lors des discussions. «Pour nous, la situation actuelle est devenue intenable, et nous n’avons plus envie d’être un espace de liberté dont on n’a cure», expliquaient samedi les responsables du centre pour justifier leur décision.
Débordements réguliers
La place située devant le centre est devenue ces dernières années «le point de...