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La Suisse italienne et romande en concurrence

Les Tessinois espèrent récupérer un siège avec Marina Carobbio. Des Romands refusent d'en faire les frais.

22 nov. 2011, 00:01
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Marina Carobbio permettra-t-elle à la Suisse italienne de retrouver sa place au Conseil fédéral? Une première réponse tombera vendredi avec la désignation, par le groupe parlementaire socialiste à Berne, des candidats officiels du parti en vue de l'élection du 14 décembre.

Bien que Marina Carobbio refuse elle-même d'être réduite au rang de candidate de la Suisse italienne, elle n'en est pas moins soutenue par la députation tessinoise à Berne. "L'absence d'un conseiller fédéral n'est pas préjudiciable à la Suisse italienne, mais au pays tout entier, comme le montrent nos relations catastrophiques avec l'Italie" , argumente ainsi le conseiller national libéral-radical Ignazio Cassis, lui-même candidat de combat au Conseil fédéral l'an passé. Qui ajoute: "7% de la population du pays a toujours plus de peine à s'identifier à la Suisse." A Berne, les revendications suisses italiennes sont certes jugées légitimes sur le fond. Mais pour le Valaisan Stéphane Rossini, concurrent de...

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