Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La Suisse peu fertile pour les «fake news»

Le système politique fédéraliste protège contre leur propagation, d’après deux experts.

04 mars 2019, 00:01
DATA_ART_12701282

En France, Emmanuel Macron a, tour à tour, été homosexuel, propriétaire de comptes offshore ou encore le candidat favori de l’Arabie saoudite. Le chancelier autrichien Sebastian Kurz, de tendance conservatrice, s’est, lui, vu attribuer de fausses pages Facebook contenant des messages xénophobes et antisémites.

Aux Etats-Unis, c’est Hillary Clinton qui a été la cible de nombreuses fausses informations, la plus marquante étant le «Pizzagate». La rumeur prétendait qu’un restaurant, où la candidate démocrate avait organisé une soirée de levée de fonds, était en réalité une façade dissimulant un réseau de pédophiles.

Doris Leuthard sur Twitter

Les politiciens suisses ont été plutôt épargnés jusqu’à présent. Mais la menace existe. Durant son mandat comme cheffe du Département fédéral de la communication (Detec), Doris Leuthard s’est vue démultipliée sur Twitter. De faux comptes Twitter publiant de faux tweets au nom de la conseillère fédérale étaient régulièrement créés. Pour contrer le phénomène, son...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias