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Le doute sur la surveillance nucléaire interpelle les politiques

Marcos Buser, l'expert démissionnaire de la commission de sécurité nucléaire, a dénoncé des manigances.

25 juil. 2012, 00:01
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Les accusations de connivence au niveau de la surveillance du nucléaire en Suisse ne laissent pas les politiques indifférents. Comme le souhaite l'auteur des reproches, l'expert démissionnaire de la commission de sécurité nucléaire Marcos Buser, les parlementaires vont rebondir à la rentrée.

Du côté du Département fédéral de l'énergie (Detec), on affiche le traditionnel "no comment, l'enquête interne est en cours" .

" Le Detec ne peut donc encore se prononcer sur les reproches, qu'il prend très au sérieux, ni sur d'éventuelles conséquences" , a déclaré hier son porte-parole Harald Hammel.

Marcos Buser s'étonne de ne rien avoir entendu de la part du Detec depuis sa démission annoncée fin juin. Il dénonçait alors, preuves à l'appui, les manigances, sous le couvert de l'Office fédéral de l'énergie (Ofen, entre l'Inspection fédérale pour la sûreté nucléaire (IFSN) et la Société coopérative nationale pour le stockage des déchets radioactifs (Nagra). Une situation qu'il...

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