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Le monde académique et scientifique hausse le ton

La Suisse ne peut pas se permettre de couper dans la formation, estime-t-il.

22 mars 2016, 23:37
/ Màj. le 23 mars 2016 à 00:01
ARCHIV --- Der Student Filip Nay forscht im Labor der Pharmazeutischen Wissenschaften der ETH Zuerich Hoenggerberg nach neuen Blutverduennungsmitteln, aufgenommen am 28. Oktober 2004. Die ETH Zuerich will kuenftig besonders gute Studierende mit Geld belohnen. Und am Standort Hoenggerberg erstellt sie insgesamt 1000 Zimmer fuer Studentinnen und Studenten. Damit will die Hochschule ihre Attraktivitaet steigern, wie am 28. April 2008 an der Jahreskonferenz der ETH bekannt wurde. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ ETH JAHRESKONFERENZ

Les hautes écoles et les chercheurs sont appelés à se serrer la ceinture. L’enveloppe annuelle octroyée à la formation, la recherche et l’innovation ne devrait croître que de 2% par année entre 2017 et 2020, estime une majorité de la commission des finances du Conseil national. Les élus ont suivi hier les propositions du Conseil fédéral, soucieux d’équilibrer ses finances. Au grand dam de la place scientifique.

Le jour même, les hautes écoles et les institutions de recherche organisaient une conférence de presse à Berne pour maintenir la pression sur le parlement, qui empoignera le sujet dès la session d’été.

Croissance financière insuffisante

«Les moyens financiers proposés sont totalement en décalage avec les objectifs ambitieux de la Confédération», a fustigé Petra Studer, coordinatrice du réseau Future, qui réunit milieux académiques et scientifiques. «Le Conseil fédéral veut augmenter le nombre de places d’études en médecine, développer de nouveaux domaines de...

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