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Le présumé espion suisse risque la prison

Deux ans avec sursis, c’est ce qui pend au nez du détective privé.

18 oct. 2017, 23:05
/ Màj. le 19 oct. 2017 à 00:01
Rechtsanwalt Hannes Linke (l) bespricht sich vor Verhandlungsbeginn mit dem angeklagten Schweizer Daniel M. am 18.10.2017 im Gerichtssaal des Oberlandesgerichts in Frankfurt am Main (Hessen). Die Bundesanwaltschaft wirft dem Angeklagten vor, die nordrhein-westfaelische Finanzverwaltung und einige ihrer Steuerfahnder ausspioniert zu haben. Zwischen Juli 2011 und Februar 2015 soll der Mann im Auftrag eines Schweizer Nachrichtendienstes aktiv gewesen sein. (KEYSTONE/DPA Pool/Andreas Arnold) DEUTSCHLAND SCHWEIZ PROZESS SPION DANIEL M.

Le présumé espion suisse jugé à Francfort risque jusqu’à deux ans de prison avec sursis. C’est ce que suggère le parquet allemand, à condition que l’accusé éclaircisse des points restés flous. La défense a jusqu’à jeudi prochain pour se pencher sur cette proposition.

Le Parquet fédéral demande un an et demi minimum, deux ans maximum, avec sursis et une peine pécuniaire de 50 000 euros. Le détective privé, accusé d’avoir espionné les autorités fiscales de Rhénanie du Nord - Westphalie sur mandat du Service de renseignement de la Confédération (SRC), doit prendre à sa charge les coûts liés au procès. Les lignes en vue d’une entente ont été tracées. Mais l’accusé doit faire des aveux crédibles et livrer ses contacts. Sans cela, les juges n’entrent pas en matière.

L’ex-policier zurichois et détective privé avait notamment été chargé, par le SRC, d’identifier les inspecteurs du fisc qui recueillaient des données sur...

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