Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les déodorants alarment les élus

Le gouvernement fera le point sur l’emploi d’aluminium dans les cosmétiques. Une étude récente pointe ce métal comme un facteur de risque pour le cancer du sein.

02 mai 2017, 23:32
/ Màj. le 03 mai 2017 à 00:01
DATA_ART_11155495

Les sels d’aluminium présents dans la quasi-totalité des déodorants seraient-ils toxiques? Les parlementaires sont visiblement préoccupés par les résultats alarmants publiés l’automne dernier par des chercheurs genevois. Le Conseil national a largement approuvé hier un postulat de Lisa Mazzone (GE/Verte) (par 126 voix contre 58), réclamant que le Conseil fédéral «se penche avec attention» sur ces molécules anti-transpirantes et rédige une analyse des études et des possibles mesures à prendre.

La majorité bourgeoise avait pourtant largement balayé un postulat similaire il y a moins d’un an. Mais c’était avant que le professeur André-Pascal Sappino et le docteur Stefano Mandriota, de la clinique des Grangettes, à Genève, ne présentent leurs conclusions: les souris développent des tumeurs, lorsqu’on leur injecte des cellules mammaires qui ont exposées (en laboratoire) à des sels d’aluminium.

Opposition de l’UDC

«Le cancer du sein est la principale cause de mortalité chez les femmes de moins de 50...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias