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Les efforts de la Suisse décriés

Les exportations du métal toxique ont été réduites,mais la Confédération ne les interdit pas comme le réclament des ONG présentes à Genève.

28 sept. 2017, 23:48
/ Màj. le 29 sept. 2017 à 00:01
Swiss Federal President Doris Leuthard, center, poses with a woman, left, living in the village of Minamata in Japan, next to United Nations Director-General Michael Moeller, right, during the Opening of the High-Level Segment the First Conference of the Parties (COP1) to the Minamata Convention in Geneva, Switzerland, Thursday, September 28, 2017. The First Conference of the Parties (COP1) to the Minamata Convention will be held in Geneva from 24 to 29 September 2017, with the expected participation of 1000 delegates from the entire world. Switzerland is honored to host the First Conference of the Parties to the Convention entitled "Make Mercury History". (KEYSTONE/Martial Trezzini) SWITZERLAND MINAMATA CONVENTION MERCURY

Un million de francs. C’est la somme supplémentaire promise hier par la conseillère fédérale Doris Leuthard pour des programmes spécifiques de la Convention de Minamata, «si une bonne solution est trouvée», lors de la première Conférence des parties (COP1) qui s’est déroulée cette semaine à Genève. Le grand raout devrait s’achever aujourd’hui par un accord sur les règles de mise en œuvre du «livre blanc» de la lutte contre les effets nocifs du mercure.

Cet élan de générosité ancre un peu plus la Suisse dans son rôle de porte-drapeau face aux dangers de ce métal toxique avec, à la clé, le secrétariat de la Convention que la Confédération espère implanter à Genève. Ce qui n’a pas empêché plusieurs ONG de lui reprocher durant la semaine son «double discours»: d’un côté, la Confédération joue l’élève modèle et, de l’autre, elle continue d’exporter ce métal qui, déjà à petite dose, peut causer...

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