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Les Etats font un geste pour les petits-enfants

Une commission avalise une procédure facilitée pour la troisième génération.

05 avr. 2016, 23:02
/ Màj. le 06 avr. 2016 à 00:01
BILD ZUR SDA- SOMMERSERIE "SPRACHSPRUENGE - KULTURSPRUENGE": Integrationsklasse in Schlieren am Freitag, 23. Mai 2008. In Schlieren leben 42 Prozent Auslaenderinnen und Auslaender, was dem hoechsten Anteil im Kanton Zuerich entspricht. Die Gemeinde setzt daher auf Achtung und Toleranz, in den Schulen wird Integration gross geschrieben. (KEYSTONE/Walter Bieri) SCHWEIZ SDA SOMMERSERIE SPRACHSPRUENGE SCHLIEREN

C’est un projet qui en a vu de toutes les couleurs. L’automne dernier, la naturalisation facilitée des étrangers de la troisième génération avait failli être enterrée par la Chambre des cantons. Elle avait été sauvée de justesse, grâce au vote du président Claude Hêche (PS, JU).

Aujourd’hui, la réforme repose sur une base nettement plus solide. L’entrée en matière étant acquise, la commission des institutions politiques du Conseil des Etats a avalisé, lundi, par huit voix contre trois, les modalités pratiques du projet.

Même si elle a serré la vis par rapport à la version du Conseil national, le résultat final reste acceptable, estime le sénateur Robert Cramer (Verts, GE). «Les petits-enfants de saisonniers ne jouiront pas du droit du sol, mais ils auront un accès facilité à la nationalité suisse.»

La conseillère nationale Ada Marra (PS, VD) est à l’origine de la réforme. Elle se réjouit que celle-ci aille...

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