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Manon Schick, éternelle indignée

Après dix ans à la tête d’Amnesty International Suisse, la Lausannoise a décidé de laisser sa place. Elle n’abandonnera toutefois pas les droits humains. Rencontre.

28 oct. 2019, 00:01
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Son visage est connu. Ses idées sont portées haut et fort, et son nom résonne outre-Sarine. Après dix ans à la tête d’Amnesty international Suisse, la Lausannoise Manon Schick (44 ans) a décidé de laisser sa place. Elle nous accueillait vendredi, pour en parler.

«Je ne sais pas.» C’est la réponse qu’elle donne quand on lui demande ce qu’elle fera après Amnesty. Bénévole d’abord, puis salariée, Manon Schick a grimpé les échelons un par un, avant d’arriver à la tête d’Amnesty international Suisse. Mais après seize ans d’engagement et dix ans de direction, elle a décidé de remettre les clés pour l’été prochain. Son départ coïncide surtout avec la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie internationale et nationale pour Amnesty. Un moment idéal pour laisser la place à quelqu’un de neuf.

Pour la suite, tout reste ouvert. «Je sais faire plein de choses», glisse-t-elle, tout sourire. Elle préférait surtout...

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