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Mieux valoriser les doctorants

Malgré un faible taux de chômage global parmi les nouveaux docteurs, certains restent sur le carreau. Le point en cette semaine de rentrée académique.

20 sept. 2017, 20:53
/ Màj. le 21 sept. 2017 à 00:01
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«J’ai un CDI avec un salaire tout à fait décent, d’autant plus que j’ai choisi de travailler à 80 pour cent. Je suis consciente d’être très privilégiée, car j’ai terminé ma thèse en sachant que j’avais un poste qui m’attendait.» Anne*, 29 ans, est titulaire d’un doctorat en psychologie. Ce témoignage illustre-t-i une insertion facile des jeunes docteurs dans le monde du travail? La réalité est plus nuancée.

Selon Denis Billotte, secrétaire général de la Conférence universitaire de Suisse occidentale (Cuso), «les jeunes docteurs ressentent plus de difficultés que les jeunes diplômés de master à obtenir un poste de travail. Mais après un an, le taux d’emploi des titulaires d’un doctorat est meilleur que celui des détenteurs d’un master». Ce ressenti est lié aux attentes souvent spécifiques des docteurs qui espèrent décrocher un poste proche de leur spécialisation.

Incertitudes à l’université

Demeurer à coup sûr dans son domaine de recherche...

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