Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«No Billag» toujours esseulée

11 avr. 2017, 23:24
/ Màj. le 12 avr. 2017 à 00:01
ARCHIV - ZUR MELDUNG, DASS DIE FERNMELDEKOMMISSION DES NATIONALRATS (KVF) VON DER VERWALTUNG ZUSAETZLICHE INFORMATIONEN IM ZUSAMMENHANG MIT DER INITIATIVE ZUR ABSCHAFFUNG DER BILLAG-GEBUEHREN WILL, STELLEN WIR IHNEN DIESES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG. - Eine Rechnung fuer Empfangsgebuehren der Schweizerischen Erhebungsstelle fuer Radio- und Fernsehempfangsgebuehren Billag in der Hoehe von CHF 451.10 und eine Brille, aufgenommen am 17. Marz 2017 in Zuerich. (KEYSTONE/Christian Beutler) SCHWEIZ BILLAG

Les initiants de «No Billag» batailleront-ils seuls devant le peuple, eux qui veulent supprimer les redevances radio-TV? Ou la droite du parlement finira-t-elle par opposer à leur texte un contre-projet direct? Souvent évoquée, cette seconde possibilité ne semble pas mûre. La Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR) peut respirer.

Réunie jusqu’à hier, la commission compétente du Conseil national n’a voté ni sur l’initiative populaire, ni sur un éventuel contre-projet proposant une réduction de la redevance. Pour la simple et bonne raison que sa majorité PLR-UDC n’accorde pas ses violons.

La droite est toutefois parvenue à donner un mandat à l’administration fédérale: calculer les conséquences pour la SSR d’une diminution de son budget tiré de la «taxe Billag» – aujourd’hui 1,2 milliard de francs environ – à un milliard, ou à 750 millions.

La gauche sceptique

Le socialiste Jacques-André Maire (NE) dénonce «une guerre d’usure». Le PLR nie. «Ces simulations...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias