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"Nous n'allons pas abandonner la partie avec Bruxelles"

Didier Burkhalter tire le bilan de sa double présidence de la Suisse et de l'OSCE. Il a permis à la Suisse de se profiler sur la scène internationale.

17 déc. 2014, 00:01
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PROPOS RECUEILLIS PAR CHRISTIANE IMSAND

Il avait choisi hier la galerie des Alpes du Palais fédéral pour tirer le bilan de son année présidentielle. Didier Burkhalter a beau être un habitué des rives du lac, il sait que c'est la montagne qui incarne la Suisse. Il l'assume volontiers si cela lui permet d'atteindre ses objectifs.

Au terme des douze mois consacrés à la présidence de la Confédération et à celle de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), il se présente avec l'assurance de celui qui a traité à égalité avec les grands de ce monde. Il conserve aussi la conviction qu'une solution est possible avec Bruxelles. Interview.

Une année particulièrement intense se termine. Est-ce qu'elle vous a changé?

Je ne crois pas. Je me suis senti plus libre d'exprimer ce que j'avais dans le coeur du fait de la fonction présidentielle, mais je ne pense pas...

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