Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Oeuvres d’entraide «assaillies»

Toujours plus de personnes pauvres se tournent vers les organismes privés lorsque l’aide sociale faillit à sa mission.

07 nov. 2016, 23:36
/ Màj. le 08 nov. 2016 à 00:01
** ARCHIV ** Kinder schaukeln am 17. September 2007 in Dresden. Die Kinderarmut in Deutschland steigt dramatisch an: Zu diesem Ergebnis kommt der am Donnerstag, 15. November 2007, in Berlin vom Kinderhilfswerk veroeffentlichte "Kinderreport Deutschland 2007". War 1965 nur jedes 75. Kind unter sieben Jahre auf Sozialhilfe angewiesen, ist es heute mehr als jedes sechste, wie es hiess. Mittlerweile wuerden 14 Prozent aller Kinder offiziell als arm gelten. (KEYSTONE/AP Photo/Matthias Rietschel)    DEUTSCHLAND Familien Kinder Armut Report

En raison de difficultés financières, Monsieur W. ne parvient plus à payer son loyer, ni assurer certaines dépenses indispensables, malgré son salaire. Voyant sa situation empirer, il sollicite le soutien du service social de sa commune. En théorie, Monsieur W. a droit à une aide financière, mais elle lui est refusée, car il n’aurait pas rempli sa demande correctement. Au lieu de le conseiller directement, le service social le renvoie vers une œuvre d’entraide privée.

Après vérification, les collaborateurs de l’œuvre en question lui annoncent que sa demande est conforme et que le service social n’aurait pas dû la refuser. Ils appuient le démuni dans une nouvelle requête et lui fournissent une aide financière d’urgence, le temps que ses prestations d’aide sociale lui soient versées. Ce qui peut prendre du temps.

Aide sociale sous pression

Sans l’intervention de l’œuvre d’entraide, il aurait été difficile, pour Monsieur W., de connaître et...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias