La presse, écrite en particulier, va mal. Il n’est en effet pas un titre, et «La Côte» ne fait pas exception, qui ne souffre pas de la baisse drastique de ses revenus, particulièrement publicitaires. Une situation qui inquiète jusqu’au Parlement fédéral. Et c’est un élu de la région qui s’est positionné du côté de la Berne fédérale en première ligne dans la recherche de solutions.
Avec trois autres collègues de tous horizons – politiques et géographiques –, le conseiller national de Genolier a déposé mercredi une initiative parlementaire pour modifier une Constitution qui, en l’état actuel, ne permet un soutien substantiel qu’aux médias électroniques (radio et télévision). L’idée? Ouvrir le jeu afin de pouvoir, ensuite, en fixer les nouvelles règles. Car plus tard, il sera trop tard, craint en somme le libéral radical. «La crise est là, et les choses n’avancent pas assez vite!»
Olivier Feller, pourquoi avoir déposé ce...