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Pas d’excuses de «Blick»

14 mars 2017, 23:03
/ Màj. le 15 mars 2017 à 00:01
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«Blick» n’a l’intention ni de réagir à la demande de réparation de la Turquie, ni de s’excuser après sa Une de lundi. Le quotidien alémanique avait appelé, en allemand et en turc, à rejeter le référendum sur le renforcement des pouvoirs du président turc Recep Tayyip Erdogan.

Pour le rédacteur en chef du groupe Blick Christian Dorer, il n’est pas question de donner suite à la demande de réparation formulée par le ministère turc des Affaires étrangères. «Evidemment pas, parce que chez nous, au contraire de la Turquie, nous avons la liberté d’expression. Et nous étions très polis dans cette lettre, très factuelle», a-t-il affirmé.

Recep Tayyip Erdogan a présenté, lundi soir, la Une de «Blick» (photo Keystone) à la télévision turque En Son Haber, semblant s’en amuser. Il se réjouit du gros titre du journal, car les journaux suisses apprennent maintenant aussi le turc, a-t-il dit devant la...

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