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Pas de bouleversement en vue

Même si elle risque de perdre un siège, l’UDC restera sans doute le principal parti de la délégation bernoise au National. Son sortant Manfred Bühler devrait être le seul élu francophone.

03 oct. 2019, 00:01
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Les places seront chères, le 20 octobre, dans le canton de Berne. D’une part, parce qu’en raison de l’évolution démographique, celui-ci n’enverra plus que 24 représentants au Conseil national. Et d’autre part, parce qu’il y a pléthore de candidats – pas moins de 651, soit 84 de plus qu’en 2015.

Actuellement, l’UDC est la première force politique, avec neuf élus. Suivent le PS (six), le PBD (trois), le PLR, les Verts et les Vert’libéraux (deux chacun), et, finalement, le PEV (un). Cet automne, seuls trois parlementaires ne briguent pas de nouveau mandat: Adrian Amstutz (UDC), Margret Kiener Nellen (PS) et Hans Grunder (PBD). Comme les sortants partent toujours avec un avantage, il sera difficile, pour les nouveaux, de conquérir un siège...

Quid des Romands?

Pour la minorité francophone, le principal enjeu est le maintien – ou non – de son unique représentant, l’UDC Manfred Bühler, maire de Cortébert. En...

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