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Prisons et Service de renseignement ne communiquent pas assez

Le groupe de coordination Tetra présentait hier son rapport annuel sur le terrorisme en Suisse.

14 mars 2017, 23:03
/ Màj. le 15 mars 2017 à 00:01
Exterior view of the penitentiaries Bellechasse, pictured on July 16, 2012 in Sugiez, Switzerland. The penitentiariy Bellechasse in the canton of Freiburg nowadays accommodates mainly people, who have been sentenced by the court authorities of the cantosn of Romandy and Ticino and are serving a sentence in non-confinement.The farm with a combined area of more than 700 ha (second biggest firm of Switzerland) is a central element of the penitentiaries. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Aussenansicht der Anstalten Bellechasse, aufgenommen am 16. Juli 2012 in Sugiez. Die Strafanstalt Bellechasse im Kanton Freiburg beherbergt heute hauptsaechlich Personen, die von den Gerichtsbehoerden der Westschweizer Kantone und des Tessins verurteilt wurden und die sich im offenen oder halboffenen Strafvollzug befinden. Der Landwirtschaftsbetrieb mit einer Flaeche von mehr als 700 ha (zweitgroesster Betrieb der Schweiz) bildet ein zentrales Element der Anstalten. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ STRAFANSTALTEN BE

La menace d’attentats demeure «élevée» en Suisse. «Avec peu de moyens, le terrorisme low cost peut frapper n’importe qui, n’importe où, n’importe quand», rappelle Nicoletta della Valle, directrice de Fedpol. Le groupe de coordination Tetra – qui réunit la police fédérale, le service de renseignement (SRC) et le Ministère public de la Confédération notamment – présentait hier les mesures prises contre le terrorisme en Suisse, à l’occasion de son rapport annuel.

Il a pointé également quelques lacunes, dont une concerne le secteur sensible des prisons. «L’établissement d’exécution des peines n’est pas forcément informé quand un individu, condamné pour une infraction ordinaire (actes de violence, etc.), se trouve sur le radar du SRC pour radicalisation», déplore Blaise Péquignot, secrétaire général de la Conférence latine des chefs des départements de justice et police.

Et vice-versa: le SRC n’est pas systématiquement tenu au courant quand un détenu potentiellement radicalisé sort de...

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