Porter à son doigt ou autour du cou un diamant issu des cendres d'un défunt, tel est le service que propose la société suisse basée à Coire, Algordanza (qui signifie "souvenir" en romanche).
Pour produire ces pierres précieuses, les cendres sont en premier lieu purifiées. Puis le carbone, qui est la matière composant les diamants, est extrait. Il est ensuite chauffé à haute température et pressurisé. Et c'est ainsi que naît le "diamant du souvenir" en l'espace de quelques semaines.
Les explications du processus (en italien)
Fondée en 2004, Algordanza a ouvert des bureaux dans une vingtaine de pays.