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Qui veut la peau de la SSR?

Le média est soumis à un feu nourri venu d’élus de droite. Ces artilleurs suivent des motifs divers. Tour d’horizon.

07 mars 2017, 23:28
/ Màj. le 08 mars 2017 à 00:01
Natalie Rickli, Nationalraetin SVP-ZH, posiert bei der Einreichung der Unterschriften fuer das Referendum "Nein zur Billag Mediensteuer" bei der Bundeskanzlei ein, am Montag, 12. Januar 2015 in Bern. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ BILLAG REFERENDUM

L’affrontement reprend de plus belle autour de la Société suisse de radiodiffusion (SSR). Lancée par les Jeunes UDC et PLR, l’initiative populaire «No Billag», qui veut enterrer la redevance pour les radios et télévisions, atterrit aujourd’hui sur la table du Conseil des Etats.

Si le texte devrait s’y faire atomiser, les débats seront autrement plus disputés au National lors d’une prochaine session. Notamment en raison de la force de l’UDC, appuyée par certains libéraux-radicaux.

Quelles motivations sous-tendent cette opposition à la SSR? Éclaircissements.

Au moment d’évoquer les fers de lance d’une remise en question de la SSR, le curseur s’arrête souvent sur la conseillère nationale Natalie Rickli (UDC, ZH). Son employeur, Goldbach Media, commercialise de la publicité pour médias électroniques privés (TV, vidéo, numérique). La SSR constitue donc un concurrent de poids. «Cette situation n’a rien de problématique dans notre système de milice. Je ne me suis d’ailleurs jamais engagée...

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