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«Si nous ne trouvions pas de solution, la Suisse serait affaiblie»

Les présidents des deux EPF se sont rendus à Bruxelles pour plaider la cause de la recherche suisse.

01 oct. 2015, 23:55
/ Màj. le 02 oct. 2015 à 00:01

Les présidents des deux écoles polytechniques fédérales de Lausanne et de Zurich ont défendu hier à Bruxelles l’importance pour la Suisse d’être intégrée aux programmes de recherche européens. «La Suisse compte parmi les pays les plus innovateurs au monde. (...) Tout le monde serait perdant si les universités suisses étaient exclues de la compétition à laquelle se livrent les pays européens sur le plan de la recherche», a indiqué Lino Guzzella, président de EPFZ. Les craintes en la matière émanent de l’acceptation par le peuple suisse de l’initiative contre l’immigration de masse le 9 février dernier. «La science fut la première victime. Et il y a tout lieu de craindre que nous soyons de nouveau les premiers à subir des conséquences négatives si nous ne trouvons pas une solution (...)d’ici à la fin de 2016», a indiqué Patrick Aebischer, président de L’EPFL.

Bénéfique aux Européens

Pour rappel, les...

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