L’accord signé ce week-end à Buenos Aires entre les pays de l’AELE – dont la Suisse fait parie – et les pays sud-américains du Mercosur suscite la controverse: l’Union suisse des paysans (USP) «ne sait pas si elle pourra le soutenir» et les Verts annoncent déjà un référendum. En revanche, les milieux de l’industrie d’exportation non-agricole applaudissent.
Le président brésilien Jair Bolsonaro a été l’un des premiers à se féliciter de la signature de l’accord, avec un message sur Twitter: «une autre grande victoire pour notre diplomatie d’ouverture commerciale», a-t-il écrit, faisant dire à de nombreux commentateurs de la presse du dimanche, hier, que le conseiller fédéral en charge de l’Economie, Guy Parmelin (UDC), était «pris en otage» par le chef d’Etat brésilien, pris à partie en raison des incendies en Amazonie (lir en page Actu).
«La place économique suisse est renforcée»
Collègue de Guy Parmelin et président de...