Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Un mois de novembre sombre L'armée suisse se tourne vers les Gripen suédois

Les entreprises suisses ont multiplié ces dernières semaines les annonces de suppressions d'emplois. Le Conseil fédéral a opté pour un budget de 3,1 milliards de francs.

01 déc. 2011, 00:01
data_art_5533085

Depuis fin octobre, les coups durs portés à l'emploi se succèdent. Restructuration, délocalisation et réductions d'emplois sont devenues monnaie courante.

Particulièrement affectée, l'industrie exportatrice se plaint depuis un an et demi déjà de l'impact du franc fort sur ses marges.

Novartis a ainsi annoncé fin octobre la suppression de 2000 emplois d'ici trois à cinq ans, dont 1100 en Suisse. Bâle paie le plus lourd tribut avec la disparition de 760 postes, mais le groupe pharmaceutique bâlois compte également fermer le site vaudois de Nyon-Prangins, entraînant la perte de 320 emplois.

Le sort semble s'acharner sur le canton de Vaud. Après Novartis, c'est au tour de Kudelski et Bobst. Poussé par la cherté du franc, le spécialiste de systèmes d'accès sécurisés a annoncé fin octobre une importante restructuration, avec 270 emplois, dont 90 en Suisse, passant à la trappe. Le fabricant de machines Bobst a de son côté annoncé début...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias