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«Une tête de mule, pas une girouette»

Christophe Darbellay s’apprête à rentrer dans ses terres. Ses dix ans de présidence du parti l’ont armé pour sa prochaine bataille: la conquête du Conseil d’Etat valaisan. Bilan.

12 avr. 2016, 00:07
ZU DEN FORDERUNGEN VON CHRISTOPHE DARBELLAY AN PHILIPP MUELLER, DIE FDP SOLLE EINE KLARE HALTUNG ZU LISTENVERBINDUNGEN MIT DER SVP IM WAHLKAMPF 2015 EINNEHMEN, STELLEN WIR IHNEN AM SONNTAG, 21. SEPTEMBER 2014, FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG-  CVP Parteipraesident Christophe Darbellay beim Interview in der Wandelhalle waehrend den Beratungen ueber das neue Fuehrungsmodell fuer die Bundesverwaltung (NFB)am Freitag, 13. Juni 2014 im Nationalrat in Bern. (KEYSTONE/Lukas Lehmann) SCHWEIZ CVP FDP WAHLEN 2015

Propos recueillis par Stéphanie Germanier et Christiane Imsand

Le président du PDC Christophe Darbellay est en train de faire ses bagages. Après dix ans passés à la tête du parti, il s’apprête à céder son poste au Zougois Gerhard Pfister qui sera élu par l’Assemblée des délégués le 23 avril. Pour le président en titre qui a déjà quitté le Conseil national l’automne dernier en raison de la limite de mandat imposée par le PDC valaisan, c’est aussi la page fédérale qui se tourne. Conscient que ses chances d’accéder un jour au Conseil fédéral sont minimes compte tenu de la présence de trois Romands au gouvernement et de l’unique siège PDC, il voit désormais son avenir politique au Conseil d’Etat valaisan. Interview.

Vous présidez le PDC depuis 2006. Pendant votre mandat, c’est l’UDC qui s’est renforcée alors que le PDC a reculé. Un échec?

En termes de pourcentages électoraux c’est...

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