Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Valais: la police cantonale va annoncer ses contrôles sur Twitter

C’est une première en Valais: la police va annoncer elle-même sur les réseaux sociaux certains contrôles qu’elle va mener sur l’autoroute.

21 nov. 2018, 10:39
La police cantonale va être plus présente sur l'autoroute ces prochaines semaines, mais aussi sur Twitter.

La police cantonale valaisanne ne veut pas que la situation dégénère sur l’autoroute et lance une action de prévention originale en annonçant elle-même certains contrôles qui vont être menés sur l’A9.

Trop d’accidents 

Plusieurs accidents se sont produits sur l’A9 ces dernières semaines. «Ces accidents résultent bien souvent de vitesses excessives, de non-respects des distances de sécurité et d’inattentions telles que l’usage du téléphone mobile sans dispositif mains libres», explique la police cantonale dans un communiqué. «Il y a eu plusieurs fermetures d’autoroute, des fermetures de sortie et de gros bouchons suite à des accidents», constate Stève Léger, porte-parole de la police cantonale.

Des contrôles annoncés la veille sur Twitter

La police lance une opération particulière pour mettre un terme à cette situation: elle va non seulement intensifier ses contrôles sur le réseau autoroutier valaisan, mais va annoncer certains d’entre eux via son compte Twitter. «Ces annonces via Twitter sont véritablement une première en Valais. Le but préventif est recherché», commente Stève Léger.

Pour éviter que les automobilistes ne consultent le réseau social au petit oiseau bleu en roulant sur l’autoroute, les contrôles seront annoncés la veille au soir.

Pourquoi avoir choisi Twitter pour communiqué, alors que le compte de la police cantonale ne compte que 1499 abonnés? «Après cette action, j’imagine qu’il y en aura plus», rigole Stève Léger, qui ajoute que ces annonces de contrôles seront également transmises par communiqué à la presse, ce qui augmentera la visibilité des annonces.

Cette opération d’annonces via Twitter sera menée sur plusieurs semaines. «Nous allons tester l’impact de cette action, ensuite nous verrons si nous maintenons ou non cette manière innovante de faire ou si nous devons en changer», explique encore le porte-parole de la police cantonale.

 

 

 

Votre publicité ici avec IMPACT_medias