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Vevey: l'Alimentarium veut tout savoir sur ces aliments qui nous... dégoûtent!

A Vevey, l'Alimentarium veut décortiquer les fonctionnements et les motivations du dégoût en lien avec le rejet alimentaire. Un appel au public est lancé.

15 janv. 2020, 13:06
Que ce soit à cause de leur odeur ou de leur allure, les choux de Bruxelles ne font pas partie des aliments les plus prisés.

L’Alimentarium de Vevey fait appel au public pour contribuer à sa prochaine exposition "The food we love to hate" en avril 2020. Le musée compte cartographier les aliments par ordre de dégoût et analyser leur dimension culturelle, sociale, historique et scientifique.

Décorticage alimentaire

Coriandre, escargots, chou de Bruxelles, insectes: certains aliments divisent le monde en deux. L'Alimentarium veut étudier les produits que le public n'apprécie pas et les réactions que les aliments peuvent provoquer.

Son objectif: décortiquer les fonctionnements du dégoût en lien avec le rejet alimentaire et ses motivations, qu’elles soient physiologiques, éthiques, religieuses, esthétiques, écologiques.

Gourmandise VS conscience durable

Ce classement permettra également de mettre ces réactions en perspective avec les problématiques écologiques actuelles. "Jusqu’où serions-nous prêts à aller pour changer nos habitudes en choix alimentaires plus durables, pour le bien-être de notre environnement?", interroge le musée.

Le public est ainsi invité à communiquer sur ce qui le révulse avec le média qui lui convient. Textes, photos, dessins, enregistrements audio ou vidéo: toutes les contributions sont les bienvenues, pour autant que le contenu soit téléchargeable. Les soumissions sont ouvertes de décembre 2019 à juin 2020. L'exposition démarrera le 2 avril.

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