Sportivité et luxe
Les déclinaisons sportives ont permis aux breaks de devenir ô combien désirables. BMW a ouvert la voie de la grande série avec sa M5 Touring en 1992, et l’actuelle M3 perpétue la lignée en s’affichant aussi en break dès cette année. Audi a porté sa gamme RS sur les fonts baptismaux en 1993 avec la désormais mythique RS2, break sportif dérivé de l’Audi 80 Avant d’alors et développé avec Porsche.

La Audi RS6, indiscutablement un des break les plus réussis.
En 1999, la RS4 de première génération n’était disponible qu’en break et seule la deuxième itération sur les quatre que compte le modèle aujourd’hui accueillait une berline. Suivra en 2002, la RS6 dont le succès n’a jamais été démenti à ce jour. Dans le luxe, Jaguar choisit cette silhouette pour se diversifier et se démocratiser à l’orée des années 2000, avec la X-Type dont la variante break «Estate» a rencontré un joli succès sous nos latitudes.
La saga continue aujourd’hui avec la XF Sportbrake à l’élégance toute britannique. Plus récemment, Porsche a franchi le pas en déclinant sa Panamera e son électrisant Taycan en breaks «Sport Turismo». Même Ferrari s’est essayé au break de chasse sur les FF et GTC 4 Lusso qui permirent aux ferraristi de rouler au quotidien au volant de leur marque préférée.

La prestigieuse marque Jaguar et sa XF Sportbrake.