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«C’est chose tendre que la vie...»

André Comte-Sponville fait le point sur sa pensée et sa vie dans un ouvrage d’entretiens avec François L’Yvonnet.

19 nov. 2015, 23:57
/ Màj. le 20 nov. 2015 à 00:01
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Il ne court pas les plateaux de télévision et les talkshows pour donner son avis sur tout, mais depuis son «Traité du désespoir et de la béatitude», paru il y a plus de trente ans, André Comte-Sponville n’a cessé de travailler au plaisir de penser.

Ses livres (une trentaine) problématisent, discutent et approfondissent des sujets cardinaux de l’histoire de la philosophie: le bonheur et ses liens avec le désespoir ou le sens du tragique; la question de la vérité et de la croyance; la pensée religieuse, le goût en art, le rapport entre morale et éthique. Autant de champs de réflexion à travers lesquels cet ancien élève de l’Ecole normale supérieure revisite les œuvres de ces illustres prédécesseurs qui lui ont donné le goût de mieux vivre: Epicure, Spinoza, Montaigne. Une triade ouvrant sur les trois pôles magnétiques d’une pensée à la fois matérialiste, rationaliste et humaniste. Discrète et fertile,...

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