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Et si la rive française du Léman disparaissait?

Le Nyonnais Davide Giglioli signe un second roman qui s’ouvre sur un événement incongru. Rencontre.

01 févr. 2018, 00:01
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«La mer bouge, la vie bouge. Mon roman aussi», résume Davide Giglioli, la voix teintée de bonne humeur. L’écrivain d’origine milanaise, établi à Nyon depuis 2014, sort en ce début d’année son second roman, «La Mer Léman». Il y a trois ans, il publiait «La fille qui posait des lapins», déjà chez les éditeurs Torticolis et frères basés à La Chaux-de-Fonds (NE). «Je les adore. Ce sont eux qui ont eu l’idée de faire paraître le texte en français et en italien. Ils cherchent ce qui est nouveau», se réjouit l’informaticien de métier.

De la nouveauté, dans ces lignes fraîchement imprimées, il y en a… Ne serait-ce que par l’événement déclencheur du récit. Enjoué, le père de famille pose de but en blanc la question qui rythme son histoire: «Qu’est-ce que cela changerait à votre vie si un matin la rive française du lac avait disparu?»

Une quête...

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