«La mer bouge, la vie bouge. Mon roman aussi», résume Davide Giglioli, la voix teintée de bonne humeur. L’écrivain d’origine milanaise, établi à Nyon depuis 2014, sort en ce début d’année son second roman, «La Mer Léman». Il y a trois ans, il publiait «La fille qui posait des lapins», déjà chez les éditeurs Torticolis et frères basés à La Chaux-de-Fonds (NE). «Je les adore. Ce sont eux qui ont eu l’idée de faire paraître le texte en français et en italien. Ils cherchent ce qui est nouveau», se réjouit l’informaticien de métier.
De la nouveauté, dans ces lignes fraîchement imprimées, il y en ...