Auteur de «Et si c’était niais», où il pastiche notamment Marc Levy, et de «La joie du bonheur d’être heureux», où il s’attaque aux ouvrages de développement personnel, Pascal Fioretto est de retour.
L’écrivain, chroniqueur et journaliste écrit de nouveau à la manière de quelques auteurs aux ventes vertigineuses (Joël Dicker, Aurélie Valognes), voire qui frôlent les cimes (Sylvain Tesson). Il emprunte leur style quand ils en ont un, ou leur peau de chamois, si c’est tout ce qu’ils possèdent, pour écrire une satire hilarante du mon...