Auteur de «Et si c’était niais», où il pastiche notamment Marc Levy, et de «La joie du bonheur d’être heureux», où il s’attaque aux ouvrages de développement personnel, Pascal Fioretto est de retour.
L’écrivain, chroniqueur et journaliste écrit de nouveau à la manière de quelques auteurs aux ventes vertigineuses (Joël Dicker, Aurélie Valognes), voire qui frôlent les cimes (Sylvain Tesson). Il emprunte leur style quand ils en ont un, ou leur peau de chamois, si c’est tout ce qu’ils possèdent, pour écrire une satire hilarante du monde des lettres. Comme il était de passage à Morges, nous l’avons interviewé.
D’où vient cet amour des pastiches?
J’ai découvert le pastiche avec Patrick Rambaud qui a fait, il y a une vingtaine d’années je crois, un pastiche de Marguerite Duras, qu’il avait rebaptisée Marguerite Duraille, qui m’avait fait beaucoup rire. Ensuite je me suis penché sur cette veine littéraire, et j’ai découvert...