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Nicolas Bideau veut créer une maison suisse mobile pour vanter les qualités du pays

A l'image du projet pour les JO de Londres, une maison suisse mobile, est proposée par Nicolas Bideau pour vanter les qualités d'innovation, de création et des sciences helvétiques.

30 déc. 2012, 11:57
Nicolas Bideau veut promouvoir les qualités d'innovation, de création et scientifiques de la Suisse grâce à une maison suisse mobile.

Pour vanter les qualités de la Suisse, Nicolas Bideau veut créer une maison suisse mobile à l'image du projet réalisé pour les JO de Londres. Ce lieu de rencontre qui voyagera dès 2013 de ville en ville devrait être centré sur la Suisse de l'innovation, de la création et des sciences.

L'idée est d'inventer un "objet architectural qui regrouperait des lieux et des activités culturels, artistiques, des restaurants, des espaces de networking pour les entreprises, pour les VIP", déclare le chef de Présence Suisse dans une interview au "Matin Dimanche". Cette structure tournerait à travers le monde.

Ce projet mobile sera étrenné l'année prochaine dans les villes importantes d'Italie du Nord en vue de la participation suisse à l'Expo universelle à Milan en 2015. Elle s'inspire de l'expérience menée l'été dernier lors des Jeux olympiques à Londres où 500'000 personnes ont visité la maison suisse.

Parallèlement, Nicolas Bideau veut poursuivre sa recherche de personnalités capables de faire rêver de la Suisse, à l'image de Roger Federer. "Nous avons proposé de former une sorte de club avec des personnes qui humaniseraient nos points forts", précise-t-il. Le concept est en train d'être finalisé.

Une Suisse aimée malgré tout

Nicolas Bideau espère recruter de jeunes étoiles montantes dans des horizons divers comme la culture ou la science. Joël Dicker, lauréat du grand prix du roman de l'Académie française pour "La vérité sur l'affaire Harry Quebert" serait, selon lui, un candidat idéal.

Car pour le patron de Présence Suisse, il faut redresser l'image du pays qui vient de traverser une année 2012 difficile. "Deux visions complètement opposées de notre pays coexistent à l'étranger. La première, celle que renvoient les médias d'un pays en difficulté avec sa place financière, et l'autre, très positive, qu'ont les populations étrangères qui aiment la Suisse", explique-t-il. Il faut mieux communiquer les succès helvétiques.

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