Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Un festival pour rembobiner le passé

Le film d’archéologie a encore de beaux jours devant lui. L’événement qui lui est consacré tend à le démontrer.

21 mars 2017, 23:48
/ Màj. le 22 mars 2017 à 00:01
Nyon, vendredi 17 mars 2017
Portrait de Christophe Goumand, directeur du festival international du film d'archéologie de Nyon, au Musée Romain de Nyon

Sigfredo Haro Portrait Christophe Goumand, Nyon

propos recueillis par marie maleysson

marie.maleysson@lacote.ch

Le Festival international du film d’archéologie revient pour une dixième édition à l’Usine à gaz, jusqu’à samedi. Entièrement gratuit, il a pour but de promouvoir les productions cinématographiques dans le domaine. Christophe Goumand a participé à sa création en 1998 et il le dirige depuis sa toute première édition, en 1999.

Qu’est-ce que cette édition réserve aux spectateurs?

Pour la première fois cette année, nous avons projeté un film en version 3D lors de la cérémonie d’ouverture, consacrée à l’archéologie régionale: Aventicum D-Couverte, qui porte sur la capitale de la cité des Hélvètes. Le festival sera rythmé par 35 films traitant de l’actualité des deux dernières années en archéologie et une conférence sur les dernières découvertes au lac Titicaca, qui suivra la projection d’un film sur le même thème, en présence du réalisateur. Ce sont essentiellement des documentaires et nous avons une catégorie...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias